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Le blog de Dawn Girl
29 mai 2020

Les lieux sombres de Gillian Flynn (challenge des Dames en noir)

flynn_

Voici ma troisième lecture pour le challenge des Dames en Noir, organisé par Zofia. Comme j'ai involontairement validé le premier défi, (à savoir lire un roman avec de l'eau sur la couverture), je me suis laissée prendre au jeu et j'ai choisi, pour valider le deuxième défi, un livre où le personnage principal est une femme.

 

Résumé : en 1985, toute la famille de Libby (7 ans à l'époque) a été sauvagement assassinée. Seule rescapée, Libby a désigné son frère Ben comme étant l'auteur du massacre. Devenue adulte, Libby vivote sur l'argent que lui a rapporté le drame (livre et produits dérivés, dons de personnes anonymes...) Hélas, la source de revenus se tarit et Libby est à court d'argent. Approchée par un club de fanatiques passionnés par son histoire, elle voit là l'occasion de se refaire une santé financière. Elle va retourner sur les lieux du crime et se prendre au jeu, cherchant à savoir ce qui s'est réellement passé 25 ans plus tôt...

Au début, j'ai eu un peu de mal avec ce livre. Je trouvais le style littéraire trop alambiqué, trop introspectif... Il y avait des tournures de phrase bien vues mais cela partait dans tous les sens. Le personnage de Libby, jeune femme dépressive qui boit plus qu'elle ne mange et exploite le filon de la tuerie de sa famille ; les allusions au satanisme... L'ensemble m'a paru assez poussif et je me suis dit que j'allais vraiment me faire chier jusqu'à la fin.

Et puis, arrivée entre la moitié et les trois quarts du livre... ENFIN j'ai été prise dans l'histoire. Il était temps. Non seulement Libby ne pense plus seulement à l'argent mais veut aussi découvrir la vérité sur son histoire pour pouvoir enfin aller de l'avant (ce qui rend son enquête intéressante et son personnage moins agaçant), mais on en découvre également davantage sur le personnage de Ben (auquel on s'attache immanquablement). Les chapitres, assez courts, font des allers-retours entre passé et présent selon le point de vue de Libby (pour les chapitres du temps présent), et de Patty (la mère de famille tuée) et de son fils Ben (pour les chapitres retraçant la journée macabre de janvier 1985). Le récit, bien mené, trouve son rythme... et moi avec. ^^

J'ai donc bien aimé ce livre ; le style de Gillian Flynn n'est pas dénué de talent mais un peu trop  brouillon à mon goût. Je ne sais pas ce que valent ses autres romans...

dames en noir

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30 mars 2020

Doctor Sleep de Stephen King

dr sleep

Dan, le petit garçon médium de "Shining", est devenu adulte. Hanté par les fantômes de l'Overlook et par son Don, il noie ses problèmes dans l'alcool. Après une énième beuverie, il finit par débarquer dans une petite ville où il trouve un emploi dans une résidence pour personnes âgées. Désormais sobre, il aide les mourants à franchir le passage de la vie à la mort. Parallèlement, son destin va croiser celui d'une adolescente ayant le même don que lui, pourchassée par une étrange tribu nomade... 

Je ressors assez mitigée de la lecture de ce livre... Je ne peux pas dire que je n'ai pas aimé, mais je n'ai pas adoré non plus. Il faut dire qu'à mes yeux, "Shining" est un chef-d'oeuvre, et en écrire la suite était pour moi un défi de très haute volée. Dans "Doctor Sleep", il n'est plus question d'un "simple" don de voyance qui permet de voir des fantômes, mais d'un mélange de télépathie / télékinésie / don de voyance, et à certains moments j'ai trouvé que c'était trop. Je n'ai pas retrouvé les frissons de suspense que j'éprouvais en lisant "Shining" (la scène des buis qui bougent est juste prodigieuse ❤❤❤❤)

Néanmoins, la relation entre Dan et Abra est une belle relation ; les passages où Dan aide les mourants à passer "de l'autre côté" sont assez émouvants et bien écrits. On reconnaît bien la patte de King, mais... Je crois que je trouverai toujours les anciens King (surtout ceux des années 80) bien meilleurs que les derniers. 

NB : Je ne vais plus au travail à partir de mercredi, donc je ne pourrai poster aucun article jusqu'à la fin du confinement (ou jusqu'à ce qu'on soit tous morts du Coronananana ^^)

11 mars 2020

Derrière les portes de BA Paris

portes

Voici ma deuxième lecture pour le challenge des Dames en Noir :-)

En apparence, Jack et Grace forment un couple parfait : il est avocat, elle est femme au foyer ; ils vivent dans une belle et grande maison et semblent très heureux. Mais les apparences sont trompeuses et derrière ce couple parfait se cache une réalité bien plus sombre...

Au début du livre, Jack et Grace reçoivent des amis chez eux, et on sent tout de suite qu'il y a un malaise. J'ai très vite compris ce qu'il se passait ;  un sentiment d'angoisse m'a envahie pour ne plus jamais me quitter. Ce roman est horriblement angoissant ; une véritable chape de plomb. Jack est complètement cinglé (il n'y a pas d'autre mot), et on souffre tellement pour Grace. L'auteur décrit admirablement les mécanismes de la manipulation, et traduit à merveille les pensées de la victime du manipulateur (je me suis reconnue dans beaucoup de phrases). Il y a cependant quelques situations que j'ai trouvées un peu cliché ; la dernière partie du livre est véritablement de l'ordre du roman, mais j'ai néanmoins passé un très bon moment avec « Derrière les portes ». Un livre que je conserverai et que je relirai avec plaisir.

dames en noir

10 mars 2020

Shutter Island de Dennis Lehane

Shutter-island

1954. Teddy Daniels, marshal d'Etat, embarque sur un ferry en direction de Shutter Island. Sur cette île se trouve Ashecliffe, un établissement psychiatrique de haute sécurité où sont détenus les malades criminels les plus dangereux du pays, ceux dont personne ne veut ailleurs. Daniels, accompagné de Chuck Aule, son nouveau coéquipier, est chargé d'enquêter sur la disparition de Rachel Solando, l'une des patientes. Cette dernière s'est volatilisée de sa cellule, qui était pourtant fermée de l'extérieur...

Ce livre a fait l'objet d'une adaptation au cinéma par Martin Scorsese ; j'ai vu le film il y a des années et la fin m'avait un peu décontenancée, voire déçue. Je n'étais pas sûre d'avoir bien compris. Il m'a fallu un deuxième visionnage pour tout saisir, mais je suis très longue à la détente ^^.

Pour ceux qui connaissent le film, sachez qu'il est extrêmement fidèle au livre. Vous ne découvrirez donc rien de plus avec le roman. Pour autant, je ne pense pas avoir perdu mon temps, car le livre est très bien écrit. L'auteur décrit l'île et les bâtiments avec force détails ; il prend le temps de poser le décor. Le hic, c'est que je visualisais systématiquement Leonardo Di Caprio, Michelle Williams et Mark Ruffalo, et que les images du film se superposaient à celles que mon cerveau tentait de fabriquer grâce à la lecture. C'est relativement perturbant :-) En revanche, pour ceux qui n'ont pas vu le film, c'est un thriller vraiment haletant et qui vaut le détour. Après, la fin... on aime ou on n'aime pas :-)

2 mars 2020

Lectures de janvier-février

 20 000 lieues sous les mers de Jules Verne

20 000 lieues

Tout commence en 1866. L'opinion publique s'interroge sur plusieurs incidents subis par différents navires. On attribue la responsabilité de ces avaries à un monstre marin, qu'il devient urgent d'arrêter avant qu'il ne commette d'autres dégâts. Pierre Aronnax, professeur au Muséum d'histoire naturelle de Paris, prend part à une expédition visant à attraper le monstre (Aronnax pense qu'il s'agit d'un narval). Il est accompagné de Conseil, son domestique, ainsi que de Ned Land, un harponneur canadien habitué à la capture d'animaux marins. Au bout de trois mois d'expédition, leur bateau est attaqué par une étrange masse énorme et phosphorescente. Un combat s'engage ; Aronnax, Conseil et Ned Land tombent du navire. Ils se retrouvent sur le dos du prétendu narval, qui est en réalité un navire sous-marin, le Nautilus.

Ils font rapidement connaissance avec le capitaine du navire : il dit s'appeler Capitaine Nemo. Communicant avec ses équipes dans une langue inconnue, il a coupé tout lien avec la Terre. Il vit en totale autarcie, se nourrissant exclusivement des produits de la mer et ramenant à bord les trésors les plus rares que ses explorations lui permettent de trouver. Il garde prisonniers les trois hommes à bord du Nautilus.

C'est mon troisième Jules Verne en quelques mois, et je dois dire que j'apprécie toujours énormément les voyages que l'auteur décrit à travers ses livres. Tout comme « Cinq semaines en ballon » que j'ai lu il y a quelques mois, je ne peux être qu'admirative devant les connaissances exceptionnelles de Jules Verne en matière de géographie, de sciences naturelles, de physique et de mathématiques. En revanche, j'ai trouvé « 20 000 lieues sous les mers » un peu trop encyclopédique ; toutes les espèces de poissons, crustacés et cétacés de tous les océans du monde sont listés et décrits avec une infinie précision ; en soi la démarche est intéressante mais il y en avait vraiment trop, au détriment du récit. C'est pourquoi j'ai mis longtemps à venir à bout du livre, surtout la seconde partie. J'ai tout de même ajouté « Voyage au centre de la Terre » à ma PAL, je ne manquerai pas de faire un article dessus :-)

 

 

 Rien de grave de Justine Lévy

 

rien de grave

Louise vient de perdre sa grand-mère. Dévastée par son divorce récent, elle ne parvient pas à pleurer lors des obsèques. Elle est en fait plongée dans une profonde dépression, dont elle mettra plusieurs années à se remettre.

Je savais que ce roman était semi-autobiographique ; qu'il racontait la rupture de Justine Lévy avec Raphaël Enthoven et la descente aux enfers qui a suivi pour elle. Comme l'auteur est la fille de BHL, je m'attendais à un livre plutôt introspectif, un peu intello voire philosophique. Et bien pas du tout.

Dès les premières lignes, je n'ai pas aimé le style. Je me suis dit « Ok, donc ça c'est un VLVO (Vite Lu Vite Oublié). On est dimanche ; je vais donc me le faire dans la journée comme ça je pourrai rapidement passer à autre chose ».

Je me suis donc fait le livre dans la journée, et je pense très franchement qu'il ne me laissera pas un souvenir impérissable. Ce que je n'ai pas aimé, c'est le style « parlé » : je ne compte plus les « j'ai pas pleuré », les « faut être honnête », les énumérations sans virgule, les passages du coq à l'âne dans la même phrase... Je déteste cela. Sans compter le côté fille à papa qui joue les pauvres mangeant des pâtes au thon dans son appartement parisien... Mais au secours.

C'est dommage car je pense sincèrement qu'il y avait un réel potentiel, aussi bien du côté de l'histoire que du côté du style littéraire. Certains passages sont intéressants, voire assez bien écrits. La descente aux enfers après une rupture difficile, le cataclysme et la lente reconstruction qui ont suivi ; tout cela parlera aux lecteurs car on l'a tous vécu. D'autre part, la dépendance à la drogue de Louise est plutôt bien décrite ; la désinvolture d'Adrien et son narcissisme sont proprement insupportables. Dommage, vraiment.

A mon humble avis, ce livre a été un best-seller parce que les lecteurs voulaient surtout savoir comment Justine Lévy décrivait Carla Bruni (la Paula du roman). J'avoue que c'est un peu aussi pour cette raison que j'ai lu ce livre ; on a tous un côté un peu voyeur. A titre personnel je n'ai jamais trouvé Carla Bruni jolie ; par contre son magnétisme m'a toujours fascinée. On dirait qu'elle hypnotise les hommes de sa vie ; même 20 ans après ils disent tous qu'ils étaient très amoureux d'elle et qu'ils sont d'ailleurs restés de très bons amis. Je trouve ça très étrange :-)

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15 février 2020

Au fond de l'eau de Paula Hawkins (challenge les Dames en Noir)

aufonddeleau

 

Pour cette première lecture du challenge "Les Dames en Noir" organisé par Zofia, j'ai choisi ce roman de Paula Hawkins car j'avais bien aimé "La fille du train".

Résumé : Le corps de Nel vient d'être retrouvé dans la rivière de Beckford, où elle vivait avec sa fille Lena. Ce n'est pas la première fois qu'une femme meurt dans ce point d'eau surnommé "Le bassin aux noyées" ; Nel enquêtait d'ailleurs sur ces morts, ce qui ne plaisait pas vraiment à certains habitants de Beckford. La veille de sa mort, Nel avait téléphoné à sa soeur, Julia, mais cette dernière a refusé de prendre l'appel. De retour à Beckford, elle se retrouve confrontée à ses souvenirs d'enfance et à sa nièce qu'elle ne connaît pas...

Le récit de Paula Hawkins a une particularité que j'avais déjà remarqué dans "La fille du train" : elle change de narrateur à chaque chapitre. J'ai eu du mal au début car il y a beaucoup de personnages, et j'avais peur de m'y perdre. Mais j'ai à peu près réussi à tout connecter :-)

Les personnages sont plutôt touchants ; pour des raisons personnelles je me suis reconnue dans celui de Julia. L'histoire est bien menée ; certains trouveront peut-être qu'il y a des longueurs mais personnellement je ne me suis pas ennuyée. Toutes les morts du "bassin aux noyées" sont expliquées. Ce roman m'a confortée dans l'idée que Paula Hawkins est un auteur que j'apprécie ; je lirai avec plaisir son prochain livre quand il sortira.

dames en noir

1 février 2020

Challenge "Les Dames en noir"

dames en noir

 

 

Cette année je participe à ce challenge organisé par Zofia ; le principe est très simple lire des romans policiers au sens large (thriller, polar...) écrits par des femmes. Comme ma vie personnelle et professionnelle ne me laisse pas le temps de lire beaucoup, (et que j'ai déjà une PAL à écouler ^^), je me suis inscrite dans la première catégorie, à savoir le niveau 1 (lire de 1 à 6 livres). Peut-être que je rajouterai un des challenges proposés en plus.

Je ferai un article à chaque livre lu ; j'ai jusqu'au 9 janvier 2021 donc ça me laisse du temps :-)

23 janvier 2020

Dolores Claiborne de Stephen King

dolores

 

(je les enchaîne en ce moment ; il faut absolument que je re-commande des livres car je n'ai plus grand chose à lire ^^)

 

Dolores Claiborne est accusée d'avoir tué Vera Donovan, la dame pour qui elle travaillait depuis des années. Face aux trois enquêteurs, elle nie être à l'origine de la mort de Vera ; par contre elle leur affirme avoir tué son mari (à l'époque l'enquête avait conclu à un accident). Commence alors une longue confession qui débute en expliquant pourquoi et comment son mari a trouvé la mort, et qui se termine au décès de Vera.

En refermant ce livre, je me dis une fois de plus qu'il est fort ce King :-) Après avoir réussi à me captiver pendant plus de cent pages avec l'histoire d'une enfant perdue dans la forêt (La petite fille qui aimait Tom Gordon), il parvient à écrire un roman entier juste avec un long monologue, et tout ça sans être barbant une seule seconde. Chapeau l'artiste !

En effet, dans "Dolores Claiborne", il n'y a que Dolores qui parle tout au long du livre. De temps en temps elle interrompt son récit en interpellant l'un des enquêteurs ou en demandant à boire, mais les trois interlocuteurs ne parlent jamais. Pour autant, on se plonge avec délice dans cette histoire tragique et on ne s'ennuie pas du tout.

Encore un nouveau livre à barrer, non pas sur ma PAL principale mais sur celle de Stephen King (je crois que je suis rendue à 35 ou 36 livres de cet auteur). Il faut aussi que je vous parle prochainement du challenge des Dames en Noir organisé par Zofia ; ça va me faire 3 listes différentes de livres à lire. Je ne suis pas sortie de l'auberge lol ^^

19 janvier 2020

Pétronille de Amélie Nothomb

Petronille

 

Lors d'une séance de dédicaces, l'écrivain Amélie Nothomb rencontre pour la première fois Pétronille, l'une de ses plus fidèles lectrices, avec qui elle correspond depuis quelques temps. L'auteur est très surprise par l'apparence de Pétronille ; elle la prend au départ pour un adolescent de quinze ans. Elles vont devenir amies et partager leur goût commun pour un doux breuvage : le champagne.

 J'avais lu une douzaine de livres d'Amélie Nothomb quand j'étais plus jeune. Pour des raisons que j'ai la flemme d'expliquer ici, j'étais fâchée avec cet écrivain et je n'avais plus lu un seul de ses romans depuis 2009.

"Pétronille" m'a un peu réconciliée avec elle: ce roman est plaisant et ne se barre pas trop dans des délires psychédéliques ; on retrouve la plume d'Amélie Nothomb avec plaisir. J'ai beaucoup aimé le personnage de Pétronille, qui n'a peur de rien et se fiche complètement de ce que les gens pensent. J'ai failli mourir de rire en l'imaginant interpeller le serveur du Ritz pour qu'il remplisse sa coupe de champagne vide en s'écriant : "Marée basse !". Elle est talentueuse, rebelle, (presque) sans-gêne ; elle se barre au Sahara sur un coup de tête ; j'adorerais être un électron libre comme elle et je pense qu'elle plaira à beaucoup de lecteurs.

Bref j'ai aimé ce livre ; désormais je différencie Amélie Nothomb l'auteur et Amélie Nothomb le personnage de fiction, et je ne vais pas chercher plus loin. Je pense que c'est la meilleure stratégie à adopter avec elle :-)

29 décembre 2019

L'été meurtrier de Sébastien Japrisot

ete meurtrier

Dans les années 70, une jeune femme de 20 ans, Eliane, vient s'installer dans un village du sud de la France avec sa mère (surnommée Eva Braun en raison de ses origines germaniques) et son père lourdement handicapé (qu'on ne voit jamais). A cause de son attitude provocatrice, Eliane attire tous les regards et devient l'objet de rumeurs dans le village. Très vite, elle séduit Florimond, un habitant du village, (surnommé Pin-Pon car il travaille comme pompier volontaire), et vient vivre avec lui dans la maison qu'il partage avec sa mère, sa tante et ses deux frères.

Il s'avère qu'Eliane est en fait née d'un viol collectif subi par sa mère vingt ans plus tôt ; l'un des trois violeurs serait le père de Pin-Pon. C'est pour cette raison qu'elle a séduit ce dernier, son but étant de faire payer les agresseurs...

Ce roman a fait l'objet d'une adaptation cinématographique en 1983 ; un très bon film que j'avais vu il y a longtemps déjà. En lisant le livre je visualisais donc les acteurs du film ; je connaissais déjà l'histoire et son dénouement, mais cela ne m'a pas empêchée d'apprécier grandement la lecture. C'est bien écrit ; les personnages sont attachants ; j'imaginais très bien le village du sud entre montagnes et arrière-pays. Ce roman m'a donné envie de lire d'autres ouvrages de Sébastien Japrisot (pour info, c'est également lui qui a écrit "Un long dimanche de fiançailles").

(actuellement je lis un livre d'entretiens de Marguerite Yourcenar, mais je ne ferai pas d'article dessus car c'est loin d'être passionnant ^^)

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